Ad Vitam Aeternam
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L'histoire !

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Message par Dvolia Mar 8 Aoû - 4:27


Il y a bien longtemps, dans le vaste monde des douze se trouvait un jeune garçon, assez jeune et sans réel talent, il venait d’une famille de féca, de père en fils et de mère en fille depuis plusieurs générations. A l’âge de 20ans et une fois son apprentissage de féca achevé il décida de s’en aller de la maison afin de parcourir le monde, il quitte donc incarnam afin de se rapprocher de la ville la plus proche nommé Astrub.
Après avoir écumé les tavernes, boutiques il décida de se poser dans un coin au Zaap pour observer les différents aventuriers ainsi que le recrutement des différentes guildes. Il décida d’intégrer l’une de celle qui cherchait de jeune aventurier et qui s’appelait : « La confrérie » qui était alors dirigée par Archer-Soviétique. Le temps passa, il noua des liens avec plusieurs membres, et même contre toute attente au fil des combats, quêtes et exploration il rencontra d’autre personnes souhaitant former une équipe avec lui pour pouvoir être victorieux dans les donjon de plus haut niveau.

C’est alors que Kialy, Bella, Ino et Vacabisette se joignirent à leur compagnie tout se passais pour le mieux les aventuriers plus lié que jamais durent faire face à un coup d’état dans leur guildes, le meneur fut détrôner et un dictateur prit sa place, la guilde n’allant plus dans le même sens qu’eux, ils décidèrent de quitter celle-ci et d’en recréer une qu’ils nommèrent « Ad Vitam Aeternam ». Ils commencèrent par recruter d’autres guerriers, explorateurs, artisans, afin de se développer et pouvoir se débrouiller par eux-mêmes. C’est alors qu’il s’allia à Vesqo et Izeeria deux Sram aussi fourbe et sournois l’un que l’autre qui n’hésitait pas à arnaquer ou à voler afin de se nourrir et se faire des Kamas.
Leur principales occupations étaient d’affronter d’autre guilde pour prendre possession de leur récolteur de ressources et ainsi pour s’équiper plus facilement, mais à force de se battre, ils perdirent des compagnons et en trouvèrent de nouveau comme la jeune Sadida nommée « Dvolia » qui n’était alors qu’une néophyte dans ce vaste monde, Lotus-Azure décida donc de la prendre sous son ailes l’accompagner et l’aider, celle-ci avec le temps décida de rejoindre leur rang, et ainsi elle aussi rejoindre la grande famille qu’ils formaient. Mais Dvolia ne put se résoudre à abandonner ses anciens compagnons et leur proposa d’intégrer eux aussi la guilde, le temps passa, des membres arrivèrent, et d’autre partirent, il restait toujours cette base d’aventuriers soudé contre vent et marré, « Un pour tous & tous pour un ».

Un jour, alors que tout le monde cherchait quelque chose à faire, l’un d’entre eux eu l’idée d’aller dans l’antre du Bworker, roi des bwork et considéré comme extrêmement dangereux par les trois quart des aventuriers, la guilde se prépara donc afin d’aller tenter de récupérer quelque équipements potentiel pour pouvoir par la suite affronter de nouvelle terreur. Cette troupe de valeureux bras cassé se mirent donc en route, mené par Lotus-Azure surnommé le « meneur pvm » par les siens, une fois rendue devant la porte, un bwork un peu étrange les mirent en garde : « Faites attention, je n’ai encore jamais vu personne sortir de cet endroit, et vu comment vous êtes fringué je doute que vous soyez les premiers hahahaha ». Mais nos compagnons ne reculèrent pas et pénétrèrent l’antre, un courant d’air froid, une musique sinistre, des rires de bworks surement ivres, et des grondements retentissaient dès la première salle.

Ils avancèrent donc avec prudence affrontant les différentes créatures plus ignobles les unes que les autres jusqu’au moment, ou au travers d’une salle, Vesqo invisible vit un iop coincé dans une cage entouré de plusieurs femelle bwork qui avaient sûrement de jolie projet, une petite heure après, plusieurs morts, ils arrivèrent a sa cage et lui posèrent quelques questions auquel ils répondit : « Merci, merci… je suis enfermé ici depuis plusieurs jours, ou semaines je ne sais plus trop j’étais venu ici pour tenter de prendre quelques richesse mais ils m’ont capturé… Je m’appelle Xanii, mes précédents compagnons sont tous mort… » C’est comme ça qu’il rejoignit le groupe.

Après de longues heures à se battre, faire une pause, et avoir mangé ils arrivèrent devant le bworker, une créature étrange, mais redoutable, ils se mirent en position, Dvolia prête à entraver les adversaires avec ses arbres, ronces et autres sortilèges, Lotus activa tout de suite ses bouclier, plastron et glyphe, Vaca quand à lui lança ses châtiments et se mit en ligne de front pour encaisser un maximum de dégâts, mais alors que le combat battait son plein, il manquait les deux sram, ou pouvaient-ils être ? Après un appel général il s’avéra qu’ils étaient en train de piller gentiment le trésor du bworker pendant que leurs compagnons se faisaient écraser. Après le réseau de piège posé, une petite frayeur sur le bworker pour le mettre dedans le fit tomber sous les coups héroïques de cette compagnie qui ne demanda pas son reste et partit rapidement de cet antre maléfique.

Tout cela finit bien, enfin pour une fois, en effet ce n’étais pas tout le temps que le donjon se passaient aussi bien que ça, ils avaient déjà perdu des compagnons par le passé et en perdraient surement encore mais chacun étaient conscient des risque encouru lors des rushes comme celui-ci, et chacun était libre de venir ou non. Mais contrairement à d’habitude cette fois ci ils avaient un nouveau compagnon recruté un peu étrangement et pour le moment encore inconnu à leurs yeux, car un aventurier, seul dans un donjon rempli de femelle bwork, détenu aussi longtemps sans être mangé s’était alors du jamais vu.

Une fois de retour à leur QG, Lotus le meneur eu une petite discussion avec les deux sram qui s’étaient jeter sur le butin plutôt que les aider à battre se monstres, dans un premier temps ils ne dirent rien, et cachèrent les équipements volé, mais au bout d’un moment, sentant la sanction approcher ils avouèrent avoir des équipements volé dans le donjon et qui ne voulaient à la base les garder pour eux et ne pas les partager… Ils gagnèrent donc le droit de restituer tous les drops à ceux qui s’étaient battu et n’eurent strictement rien pour les punir.

La guilde vivait donc sa petite vie tranquille, chacun quêtant à droite à gauche, mais plus le temps passait est plus les finance de celle-ci descendaient peu à peu et il fallait y remédier les membres se réunirent donc, et sept d’entre eux prirent la décision d’aller récupérer différente ressources pour les vendre et ainsi se faire des Kamas. Ils commencèrent donc par aller en ville afin de regarder ce qui se vendaient le mieux et ainsi commencer à aller récolter ce qu’il fallait. Ils en déduisent donc que les champignons se vendaient le mieux ainsi que tout ce qui pouvait se trouver dans cette grotte, la même grotte qui abritaient le redoutable et tout aussi crains Ougah.

Ils commencèrent donc par envoyer leur éclaireur Vaca en premier pour déceler les possibles pièges et repérer les lieux afin de pouvoir avancer rapidement et efficacement sans subir trop de pertes et ne pas perdre de temps, en seconde ligne se trouvaient les deux sram, présent pour poser des pièges et bloquer un maximum de créatures. Après avoir pénétré profondément dans l’antre du Ougah, quand ils virent un homme accroupi de dos, Dvolia s’approcha doucement, elle pouvait l’entendre marmonner dans sa barbe des phrases incompréhensible, il finit par se retourner, des champignons pleins la bouche, les yeux verts, il avait sûrement abusé des fameux champignons de ougah mais il arriva quand même à sortir une phrase semi compréhensible : « Remède, sang ougah, aidez-moi… » Puis il se remit à se goinfrer.

Ils n’avaient désormais plus trop de choix, alors ils votèrent, soit le laisser dans son état et surement succomber dans les prochains jours, ou tenter d’affronter le « Boss » et le sauver avec le remède… Ils avaient la main sur le cœur, et prirent donc la décision de le sauver au péril de leur vie... Une fois ne formation : Le sacrieur devant, le féca au milieu, les deux sram juste derrière et la sadida à la fin pour entraver, et soigner ses compagnons. Il ne s’agissait pas du même type de créature que le précédent qu’ils avaient pu affronter a plusieurs, celui-ci était plus vicieux et invoquait ses congénères au fur et a mesure que le combat se passait, tout le monde subissaient pas mal de dégâts, mais avec la protection du féca, et le soin du sadida ils ne perdirent personne bien que Vaca tomba a genoux, il fut protéger par ses compagnons et leur puissante magie.
Le ougah finit par tomber, son sang fut récupérer, et le fameux soldat inconnu purent être soigné et se présenta donc : « Je m’appelle Bwih, je suis un iop, je me suis égaré ici alors que j’étais à la recherche de ressources à vendre, je n’avais plus de quoi mangé, du coup je me suis rabattu sur ces champignons qui me paraissaient avec deux jours sans manger être une bonne idée. »

Une bonne année de tranquillité pour la guilde, après toute ces péripétie ça ne leur fut pas de mal de se reposer un peu. Les fêtes de Nowel etc… La fête de Pwak allait bientôt débuter, les guildes devaient donc mettre leur grief de côtés afin de profiter de cette fête pour chasser les œufs ensemble et passer de bon moments avant de s’affronter à nouveau pour la domination du monde des douze.
Le meilleur endroit pour effectuer cette chasse aux œufs ? évidemment le continent d’amakna et ses nombreuses étendue verdoyante mais aussi ses foret, ses rivières, rien de mieux pour passer des jours et des jours a chasser les fameux œufs magique convoité par tous durant cette période.

On pouvait croiser des aventuriers solitaires, et d’autres en groupe mais pas forcément plus débrouillard, car qui dis équipe dis partage des œufs, et pour certains ce n’est pas facile de partager… Evidemment Ad vitam n’étaient pas les derniers en matières de chasse, challenge mais aussi d’amusement. Un aventurier peu connu le jeune Pyroxigata aussi appelé « Pyro » était de la partie, en solo n’ayant pas de compagnon ou de guilde pour l’accompagner.

La chasse commençait donc vers Huit heure le matin, sans limite de temps, le temps passa, de nouvelles têtes firent leur apparitions, d’autre disparurent, mais un seul persistant, le jeune aventurier qui avait même prévu sans casse-croute pour le midi. Il accumulait une belle quantité d’œuf en tout genre, de toute les tailles et couleurs, il allait surement être le premier au ramassage, quand, lors d’une petite pause adossé à un arbre à l’abri du soleil il senti une chaleur intense dans son dos, en effet la foret commença à prendre feu, il semblerait qu’il avaient déranger les Dragoeufs…

Mais ceux-ci n’étant à la base pas agressif, il se rendit très vite compte que son obsession pour les œufs l’avait mené sur le territoire interdit, et même pire dans les souterrains de celui-ci… Avec évidemment des œufs de Dragoeuf plein son sac, comment le jeune garçon avait pu se tromper autant entre les œufs de Pwak et ces fameux œufs… La jeunesse dirons-nous… En tout état de cause il était désormais bloqué au fond du souterrain, devant le Crocabulia, dragon ancestral protecteur du très puissant Dofus Vulbis…

Mais, bien fort heureusement pour lui, les amis pourfendeurs de donjons de la guilde d’Ad vitam n’étaient pas très loin, ils avaient pu suivre ses traces au gré des arbres brulé et de ses morceau de sandwich disséminé au grès des clairières…
Ils adoptèrent donc la même formation que d’habitude afin de tenter de sauver le jeune cra des griffes de ce monstre terrifiant, ses cris pouvaient faire vibrer la caverne, ainsi que les armes et amures de nos chevaliers. Cependant… au fil du combat, Lotus azure le meneur de la guilde mais aussi un féca très puissant et redoutable se fit frapper par une terrible attaque du Crocabulia et, dans un torrent de lumière et un bruit fracassant disparut soudainement…

Les aventuriers survivants décidèrent provisoirement de prendre la fuite avec le jeune Pyro et revenir accompagné et mieux préparé afin de découvrir ce qui avait pu arriver à leur meneur bien aimé.
Une bonne journée passa, voir peut être même deux, et nos aventuriers n’arrivaient toujours pas à se remettre de ce qu’il venait de se produire, certains accusaient le jeune Pyro, d’autre le destin, et une seule personne Dvolia refusait de croire que son meneur et si proche ami avait pu disparaitre comme sa… Elle sentait au plus profond d’elle, la présence de Lotus, se féca qui avait tant fait pour elle, triste, déprimée elle décida de s’isoler au cœur d’une forêt, sur une île, celle de Moon bien évidemment.

Assise au milieu d’une clairière, les jambes croisées en position du Lotus, comme le nom de son meneur, la jeune Sadida se décida à méditer afin de trouver une potentielle trace de son être tant aimé. Des ronces grimpèrent peu à peu autour d’elle formant une sorte de carapace végétale sur laquelle poussa des fleurs blanche.
Des pulsations, comme un cœur battant sur le sol du monde des douze révélant chaque aventurier, chaque créatures, elle pouvait ainsi ressentir chaque cœur humain ou non battant sur cette terre mais toujours aucune trace de son féca, elle ne lâcha cependant rien, restant dans cette position plusieurs jours sans manger, sans boire, il semblerait que cette carapace végétale lui donnait tout ce dont elle avait besoin, de l’espoir.

En effet même dans les pires moments et situations Lotus n’avait jamais abandonnée la jeune Sadida, elle n’avait donc pas le droit de laisser tomber aussi facilement… Cependant après plusieurs jours sans signe quelconque elle commença à baisser les bras petit à petit, lorsque soudainement elle put entendre un murmure, se n’étais surement rien, mais cette voie elle la connaissait bien, même trop bien…
Le fameux meneur pvm était donc toujours présent dans le monde, sous une forme ou une autre mais il était encore la … Elle se précipita donc de prendre le Zaap pour rentrer au Qg, elle entra avec fracas et se mit à crier à bout de souffle : « Il est là... Il est … vivant ». Tous les membres se réunirent donc autour d’elle et l’écoutèrent donc raconter son récit des derniers jours…
Une histoire un peu bancale de méditation, de sensation etc…
Au début personne ne la cru mais voyant sa détermination à vouloir retourner affronter le Crocabulia ils durent se résoudre à l’accompagner, et puis il fallait bien venger leur chef … Cependant ils étaient désormais une personne de moins, leur plan de bataille était donc erroné… Trois sram, un sadida, un iop, un sacrieur encore blessé, un écaflip, il n’avait que très peu de soin et plus de protection…
Dvolia se mit donc en quête d’une personne pouvant les aider si possible gratuitement bien qu’elle était prête à tout pour Lotus, il semblait qu’un Osamodas soit le mieux pour les aider, race considérer actuellement comme supérieur du à leur contrôle des invocations mais aussi des soins qu’ils pouvaient prodiguer ainsi que leur don de puissance.

Il y avait de plus en plus d’Osamodas, cependant leur tarif étaient excessif en effet, une race autant demandée, obligatoirement dû à la demande ils s’en mettaient plein les poches…
Elle cherchait, encore et encore dans tout Bonta, quelqu’un susceptible de pouvoir les aider… Sans succès, mais la jeune femme ne put se résoudre à s’arrêter là, elle descendit dans les coins les plus sombre du monde des Douze pour arriver jusqu’à Brakmar, citée malfamée, peu fréquentable et sûrement bien d’autres choses encore mais la fin justifie souvent les moyens.

Elle se présenta donc à la milice, et se mit à questionner chaque Osamodas passant par la si un seul d’entre eux accepterait de risque sa vie pour elle et sans reconnaissance quelconque. Chose qui de nos jours se faisaient rare pour ne pas dire inexistant, après il est clair que beaucoup accepteraient, comme les trois quart de ses courtisans, mais bien évidemment avec une reconnaissance sûrement jugé trop élevé mais qu’elle accepterait surement si elle n’avait aucun autre choix. La nuit commença à tomber, les êtres les moins fréquentable commencèrent donc à sortir de leur tanière, Dvolia était comme un morceau de viande au milieu d’une meute de loup affamé… Lorsque qu’un jeune Osamodas passa par la et, intrigué par son discours se décida à l’écouter à courte distance, elle parlait de Dragon, de Crocabulia, d’un être cher disparut etc…

Il s’approcha donc de la jeune Sadida et lui dit : « Tu sais, je suis souvent allé la bas pendant une époque, je ne sais pas ce que vous avez besoin d’y faire mais je peux vous y accompagner.. » Dvolia le sourire jusqu’aux oreilles lui raconta toute son histoire, mais étrangement cet inconnu ne lui demanda rien, pas de récompense, pas de faveur, rien… Il accepta de l’aider sans réserve ni conditions…
Le lendemain, tout le groupe se rejoignit devant le sanctuaire du fameux « Boss » et cette fois ci hors de questions d’en repartir sans des réponses… Cependant cette fois ci, étrangement, les Dragoeufs n’agressèrent pas le groupe d’aventurier… très étrange quand ils repensèrent a la dernière fois, l’un d’entre eux intrigués se retourna vers le jeune Osamodas et les yeux écarquillé, tout en bégayant réussit à aligner quelques mots : « Mais…mais… ce n’est pas une légende ? »

En effet celui-ci s’était transformé en Dragonnet rouge, forçant le respect par les autres dragons. Les différentes légendes sur les Osamodas étaient donc vrai, ils pouvaient ainsi se transformer en différentes créatures et ainsi s’octroyer une partie de leur pouvoir, ils purent donc entrer sans trop de difficulté dans l’antre, se présentant ainsi une nouvelle fois devant le redoutable Crocabulia.
Tous pouvaient dès à présent sentir la colère, la haine, la rage qui régnait dans se souterrain, une vieille légende raconte que souvent les protecteur des Dofus, étaient habité par l’esprit de ceux-ci et ne se contrôlaient plus, un spectateur dans leur propre corps, mais évidemment se n’étais qu’une légende, personne n’avait à ce jour trouver de Dofus.

Le Crocabulia se mit donc à hurler, battre des ailes et le combat s’engagea ainsi, tous se jetèrent à corps perdu dans la bataille, en forme ou blessé, de taille ou trop faibles, pas le choix… Ils ne faisaient preuve d’aucune retenue car avec un Osa dans leur rang, ils se sentaient tous en confiance mais avaient ils raison de faire confiance à cet inconnu ? Personne ne pouvait le savoir …
Les sram posaient des pièges tant bien que mal, tandis que le iop ainsi que l’écaflip tentait de faire un maximum de dégâts sur ses écailles, l’osamodas pas loin derrière pour les soigner, renforcer, et invoquer d’innombrables créature doute plus redoutable les unes que les autres, transformant de petit tofu inoffensif en gros tofu de combat. Dvolia encore derrière jouant avec les racines des arbres, et différentes plantes vivant dans ces sous terrain pour l’entraver, l’empoisonner, et tenter de le faire tomber…

Ils perdirent ce jour-là, un de leur ami, le fameux sacrieur Vaca qui était venu se battre encore blessé du précédent combat… Mais le combat n’était pas encore fini, et bien que chacun était triste, personne ne lacha et tous tenurent bon jusqu’au dernier soupir du crocabulia. Une fois celui-ci tombé, tous se réunirent autour de leur ami tombé au combat, gisant sans vie dans une mare de sang…
Mais, les Osamodas n’étaient-ils pas tous supérieur et plein de talents ? N’avaient pas tous d’incroyable capacité et compétence multiple cachée du grand public pour leur propre sécurité ? C’est ainsi que leur fameux compagnon inconnu commença à fredonner une incantation mystérieuse à genoux au-dessus de Vaca, personnes ne comprenaient ce qu’il pouvait bien se passer mais tous le laissèrent faire et regardèrent.

Soudain, le jeune sacrieur ouvrit les yeux et se releva comme s’il se réveillait d’un cauchemar, en effet les osamodas avaient le pouvoir de relier l’âme d’un aventurier ou d’une créature décédé a son enveloppe d’origine permettant ainsi de pouvoir ramener des êtres a la vie… Bien évidemment cela n’était pas sans conséquence pour lui mais il ne dit rien et féta avec les autres le retour de leur ami.
Restait encore leur meneur… toujours sans nouvelle de lui… les murmures avaient cessé depuis que le crocabulia était tombé au combat… Que cela voulait il signifier ? Est-ce un piège de celui-ci pour tenter de les tuer ? Une lueur rouge mais vive éclairait à elle seule tous les sous terrains, cette même lumière qui lévitait au-dessus du corps du monstre, tous s’approchèrent non pas sans méfiance, mais cette lueur chaude, inspirait confiance.

Le fameux Dofus Vulbis était là, devant eux, il ne demandait plus qu’à être attrapé mais aucun n’osèrent tendre la main… une chose si majestueuse, avec de si grand pouvoir, tellement convoité… ne pouvais pas être prise sans risque… Un seul approcha sa main, le jeune Osamodas toujours transformé en dragon rouge, il finit par attraper la main de Dvolia pour la coller sur l’œuf et celle-ci fut téléporter dans un monde astrale et apparut devant un dragon spectral, mais elle n’était pas seule ici… Quelqu’un d’autre l’attendait déjà.
Ils étaient donc trois dans cette dimension un peu étrange, l’âme du Dofus, Dvolia et cet inconnu dans le voile de brouillard cachant son identité. Le petit dragon prit la parole : « Vous avez donc battu mon gardien, il m’en faut trouver un nouveau désormais.. » Elle ne comprenait pas ce qu’il lui racontait et n’arrivait toujours pas à savoir qui se cachait dans le brouillard.

Elle commença donc à le questionner sur la disparition de son ami, le Dofus refusa d’abord de répondre aux questions il était surement trop occupé à raconter son histoire. Voyant que la jeune Sadida ne l’écoutait absolument pas, il décida de lever le voile sur la personne mystérieuse qui n’était autre que Lotus cependant il ne semblait pas être réellement conscient, plutôt comme endormi debout…
Elle s’approcha doucement de lui, ne sachant pas vraiment qui cela pouvait-il bien être… Mais le Vulbis reprit la parole : « Maintenant il me faut un nouveau gardien…Soit tu m’en trouve un qui ne soit pas toi, soit je jetterais un maléfice a ton ami. » Elle ne savait pas quoi répondre, elle ne pouvait pas non plus se résoudre à piéger quelqu’un avec le dofus même pour le sauver, elle aurait bien voulu se sacrifier… Mais quelqu’un d’autre se n’étais pas possible.

Elle fût donc renvoyée auprès de ses amis, ceux-ci toujours dans le flou concernant ce qu’il venait de se passer, elle trouva un mensonge à leur raconter pour ne pas avoir besoin de leur raconter ce qu’il s’était passé mais aussi le choix qu’elle devait faire. Ils prirent donc le chemin du retour, sauf l’osamodas qui lui prit un chemin différent, ils n’avaient désormais plus besoin de son aide il n’avait donc aucune raison de rester parmi eux.
Une fois revenue à leur QG elle s’enferma dans sa chambre, se changea, et s’allongea sur son lit. La tête tournée vers le plafond elle repensa à tout ce qui venais de se passer, aux deux choix qu’elle pouvait faire, sauver son ami et mentor et condamner quelqu’un ou bien le condamner lui et ainsi ne pas risquer la vie de quelqu’un d’autre ?

Elle n’arrivait plus à réfléchir correctement, et prit donc une feuille de papier, une plume et de l’encre et commença à rédiger tout ce qui lui passais par la tête. Cependant, elle n’avait d’autres choix que d’en parler a ses compagnons, après être descendu dans la salle principale elle prit la parole et commença donc à leur dire la vérité, dans un premier temps elle ne reçut que des reproches, puis au fil de son explications les gens commencèrent à comprendre l’affreux dilemme qui lui incombait.
Elle se laissa quand même la nuit, afin d’y réfléchir mais comment dormir dans ces conditions ? La jeune Sadida prit une couverture est sortie dehors pour réfléchir et se confesser aux étoiles de tout ce qui pouvait la perturber… Elle avait pris avec elle sa feuille de papier sur laquelle elle avait fini par écrire : « Peu importe comment, mais reviens nous » et selon la rumeur elle brula la feuille en laissant les cendre s’envoler au grès du vent.

En effet certains raconte qu’écrire un vœu et le brûler l’aidera à être exhausser. Une ombre se promenait le long du quai, une silhouette qu’elle avait déjà vu, en effet leur compagnon de fortune pour le Crocabulia, se jeune Osamodas. Il s’arrêta à côté d’elle, la regarda et comprit qu’elle n’avait toujours pas fait son choix, il continua ainsi sa route en réfléchissant lui aussi à une possible solution pour tout ça.
Le jeune invocateur, qui n’avait toujours pas donné de nom ou fait quelconque présentation a cette guilde allait surement prendre la décision la plus dur qu’il n’avait jamais eu à faire, il était désormais malade depuis qu’il avait utilisé la « Laisse spirituelle » pour faire revenir Vacabisette du monde des damné. Il s’en alla donc dans l’antre de la bête et se fit lui aussi téléporter dans la dimension astrale devant le Vulbis.
Cet Osamodas portant le nom de Neytiry était désormais face à un choix qu’il avait déjà murement réfléchis avant même de venir, il ne lui restait pas forcement beaucoup de temps à vivre mais avec ce peu de temps il pouvait encore faire quelque chose de bien.

Vulbis lui l’avait bien comprit, et c’est ainsi qu’il lui dit : « Tu es donc prêt à te sacrifier pour lui ? Elle ? Eux ? », « Oui je le suis » répondit-il. Apres quelques instant Le dragon reprit la parole : « Lotus il semblerait que les vœux et sanglots de ta petite protégée furent entendu par les bonnes personnes, cependant Neytiry, je sais aussi ce qui te pousse à agir ainsi, tu es en fin de vie et bientôt tu disparaîtras et je devrais à nouveau me chercher un gardien. Pour avoir essayé de me berner se féca va subir ma malédiction ! »
Et avant qu’il ne puisse lui répondre la lumière de la pièce s’intensifia, tout devint blanc, et le jeune Lotus fut téléporter dans l’antre du Crocabulia, en théorie tout devait bien finir, mais il avait subi la malédiction du dragon il sentait en lui un changement qu’il ne pouvait expliquer il ne se sentait plus féca, il ne sentait plus son pouvoir, il n’avait plus la même façon de bouger, d’analyser les situations, d’observer les sortie possible et les différentes possibilités pour … poser des pièges !

Quel étais donc se maléfice ? Aucune idée mais il n’attendit pas plus longtemps et prit la route pour rentrer chez lui, il avait beaucoup à dire, à faire mais aussi des choses a éclaircirent et des remerciements à faire. Beaucoup de choses à faire dans les plus brefs délais.
Arrivé devant la porte du QG, il frappa deux fois et attendit, la porte s’ouvrit sur les compagnons encore à table, tous se retournèrent vers lui, joyeux et content de le voir ici. Une seule personne put avoir un comportement différent, s’approcha de lui, le prit dans ses bras, puis le gifla en lui disant de ne jamais recommencer sa sinon elle se chargerait de lui elle-même.

Une bonne heure après être rentré, et avoir raconté une partie de ce qu’il avait vécu, quelques questions subsitaient, une premier plan : « Qu’étais devenu Lotus », puis « Pourquoi l’osamodas avait il fait sa », et enfin « Qu’était-il devenu ». Plusieurs questions qui restait pour le moment sans réponse, la soirée touchait à sa fin, il était désormais temps pour Lotus de découvrir ce qu’il était réellement devenu avec ce maléfice il ne ressentait plus l’envie de protéger ses compagnons mais plutôt d’empoisonner les gens, il n’avait plus envie de rester en retrait mais plutôt de poser des pièges et se dissimuler, tout comme les trois sram qu’il avait déjà au sein de sa guilde …

Que dire ? Il devait aller voir un maître sram, peut-être qu’il l’aiderait ? Peut-être pas, il s’endormit donc sur cette idée tandis que Dvolia dans sa chambre repensait au moment où elle avait pu croiser l’osamodas peu de temps avant qu’il n’aille échanger sa vie pour celle du meneur, quel intérêt, pourquoi ? Tant de questions qui restaient elles aussi sans réponse pour l’instant.
Le lendemain, il alla donc au temple des sram afin de tenter de converser avec le maître des lieux qui ne parlait qu’aux aventuriers possédant leurs capacités, il entama donc une discussion avec celui-ci qui finit par lui répondre, c’est à ce moment la Lotus comprit qu’il n’était plus féca mais bel et bien un sram … Il allait devoir s’entrainer, et se cacher de sa famille …

Il y passa donc la journée, et n’avait sûrement pas finit d’apprendre, pendant ce temps au QG les autres membres vaquaient à leur occupations, des quêtes, du commerce, et tout un tas de choses. Cependant, Vesqo un gourmand dans l’âme avait faim de sucrerie mais il avait déjà épuisé toute celle qu’il avait pu voler. Une seule solution pour en manger sans payer, allé à la péninsule Gelax, un territoire assez petit mais rempli de délicieuse petite gelé multicolore assez alléchante.
Armé de sa cuillère il commença donc à se remplir la panse sans trop réfléchir aux conséquences de ses actes, car ces fameuses petites gelées n’étaient pas de simple sucrerie mais des êtres vivants, il les tuait une par une, se goinfrant tant que possible.

Jusqu’au moment où tentant d’en attraper une, elle prit la fuite, il commença à lui courir après et finit par la rattraper, au moment où Vesqo tenta de planter sa cuillère dedans une grosse voie se fit entendre : « Lâche mon enfant tout de suite » annonça t’il. Le jeune sram se retourna vers cette voie et qu’elle surprise, le roi Gelax en personne se tenait face à lui et plutôt de mauvaise humeur semblait-il.
Vesqo tenta dans un premier temps de fuir, mais comment pouvait il allait plus vite qu’un cube de gelé roulant et écrasant tout sur son passage ? Le roi énervé finit par écraser le jeune aventurier et l’intégra ainsi à sa masse gélatineuse. Il avait beau crier, se débattre il restait coincer, il essaya même de le manger mais s’était tellement sucré qu’il ne pouvait pas.

Le jeune Sram était donc coincé au cœur d’une créature refusant de le laisser sortir, il comptait surement le laisser mourir de faim ou d’overdose de sucre. Il n’avait prévenu personne, et aucun moyen de contacter ses compagnons, qui pourrait savoir qu’il était coincé ici ? Et surtout dans quel but était-il venu …
Résolu, il allait mourir, il n’avait donc qu’une solution… Faire ce qu’il savait faire de mieux, manger, il attrapa donc sa petite cuillère et s’attaqua de l’intérieur au Roi qui pour l’instant ne sentait rien. Apres plusieurs heures à grignoter, et sûrement une explosion du taux de sucre, Son kidnappeur commença à réagir, sûrement du au mal « d’estomacs ». Il finit par le cracher, et le mit en garde : « La prochaine fois je te transforme en petite gelée et tu te feras manger à ton tour ! »
Vesqo reprit donc la route de la maison, mais très lentement se balançant de droite à gauche tel un tonneau un peu trop rempli, le mal de mer, l’envie de vomir et l’excès de sucre et de poids étaient aussi de la partie. Peut être une bonne leçon… Ou pas…

Pendant ce temps de l’autre côté du monde des douze, le jeune Vacabisa, cherchant à développer son métier alla s’aventurer dans la foret, la foret des Abraknydes pour être plus précis. Dans cette vaste étendue verte et touffu se trouvaient d’étranges arbres vivants, mais inoffensif ils se promenaient à longueur de journée sans rien faire à part grincer.
Cependant cette foret hébergeait plusieurs secrets, le premier était sûrement que cet endroit abritait aussi des Abraknyde beaucoup plus vieux que ceux que l’on pouvait trouver au bord de celle-ci, et ils étaient beaucoup plus agressif que leur plus jeunes souches.

Le deuxième devait sûrement être la maladie qui les frappait peu à peu ces arbres les rendant encore plus agressif et dangereux que les plus âgés des vénérables. Certains avaient même muté prenant la forme d’une araignée mais entièrement en bois. Sûrement une technique afin de pouvoir chasser ces petites bêtes.
Ces mêmes petite bêtes qui elle utilisait une technique similaire, prendre un morceau de bois, s’en faire un masque et s’empiler pour tenter de se dissimuler au sein de ces gros arbres. Le jeune sacrieur restait donc dans la première zone et sûrement la plus éclairée de toute la foret afin de couper, récolter différentes ressources allant des champignons aux bois morts, évidemment il était impensable de couper un autre arbre sous peine de déclencher des hostilités avec les autres.

Il commença donc sa récolte, mais celle-ci l’amena au bord de la foret sombre, cette même foret qui abritait les pire créature, mais cet aveturier était sûrement un peu plus futé que les autres et reproduisait la technique des petites araignées, il se cachait dans un tronc, et se promenait doucement afin de ne pas se faire repérer.
C’était certes plus contraignant de récolter dans ces conditions, mais au marché tout ça se revendait tellement cher du au faible nombre de personne osant s’approcher de cette zone. Après évidemment les meilleures ressources se situaient évidemment au cœur de la foret, dans le grand arbre qui abritait un arbre féroce, et très puissant.
Crains de la foret elle-même et de tout ce qui la peuple aucune créature vivante mis a part deux branches n’osent s’y aventurer. Il ne semblait toujours pas avoir été remarqué, alors il avança de champignon en champignon, de plante en plante jusqu’à arriver devant un arbre un peu spécial.

Celui-ci avait un immense rubis collé vers le haut du tronc, Intéressé par ce fameux joyau le sacrieur se mit en quête de le récupérer. Il commença donc l’escalade, arrivé à quelques centimètre de celui-ci, il sentit l’arbre bouger, et regardant un peu mieux il put se rendre compte que se tronc avec des yeux, mais aussi une bouche.
Il tomba à la renverse jusqu’à atterrir sur l’une des branches qui se trouvaient au côté du grand chêne, elle se referma sur lui l’empêchant de bouger, et le remonta vers cette créature. Il se mit a parler : « Pourquoi ose tu me déranger ? ». Vacabisa lui répondit : « Je me suis perdu je comptais partir ».
Etrangement le grand Chêne ne le crut pas et l’enferma dans une cage au fond de sa tanière, il venait d’avoir affaire au chêne mou, seigneur et maitre de cette foret, il semblait cependant énervé, ou plutôt constamment énervé et rien ne le faisais changer de comportement.

Enfermé dans sa cage de bois le jeune aventurier un peu désespérer et sûrement convaincu de mourir de faim ou bien de froid se mit à chanter… Il commença donc à fredonner : « Libérer, délivre… » Ainsi que toute la chanson, au fur et à mesure il entendait le Chêne mou raller, et lui ordonner d’arrêter mais rien n’y faisait, même la bouche bloqué il trouvait un moyen de se faire entendre.
Rendant tous les arbres fou, ou dépressif, il put ainsi les forcer à le libérer et le laisser partir avec quelque précieuse ressources qu’il s’empresserait de revendre au marché à peine revenu.
Dvolia
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